On doit défendre nos positions coûte que coûte. On parle des morts, mais y a le courage des vivants aussi. J’en ai vu qui continuaient à se battre alors qu’ils étaient blessés.
- Un résistant blessé armant son fusil à la barricade du Pont-au-Double, 22-25 août 1944 © Musée Carnavalet / Roger-Viollet