La 5e colonne de la façade a été détruite par un tir d’un Sherman de la 2e Division Blindée à la suite d’une méprise, le servant du char ayant pris au premier degré « attention à la 5e colonne », alors que la mise en garde portait sur des tireurs isolés, le terme étant utilisé pour les agents secrets allemands.
Analyse par Christine Levisse-Touzé, Conservateur général, historienne, directrice du Musée du général Leclerc et de la Libération de Paris et du Musée Jean Moulin et commissaire de l’exposition « Août 1944. Le combat pour la Liberté »