Il y a les blessés, qu’il faut soigner. Et puis il y a les morts aussi. C’est terrible. Mais il faut bien en passer par là si on veut se débarrasser de l’Occupant. Ce n’est pas maintenant qu’on va faiblir.
- Personnels de la Croix-Rouge transportant les FFI abattus par les allemands Boulevard Magenta, Paris, semaine du 19 au 25 août 1944 © LAPI / Roger-Viollet