Nous, comme on a notre propre centrale, les coupures d’électricité, on s’en fiche. On continue le travail. Moi je vais pas m’en plaindre, au moins on travaille et on est payé. C’est pas terrible mais c’est déjà ça pour acheter à manger.
- Article sur les restrictions d’électricité touchant les industries paru dans Le Matin du 6 juillet 1944 © Gallica